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Industrie 4. 0 représente la réorganisation et l’art de piloter global des réseaux interconnectés de la chaîne de valeur à l’ère de la quatrième révolution industrielle. objectivement, il s’agit d’une approche globale des besoins de chaque client, de l’utilisation de données en temps réel et de la prise en compte du bilan environnemental dans le processus de production. Ceci repose sur l’utilisation en temps réel des données ( « Big Data » ) jusqu’ici non connectées, produites par la mise en réseau de toutes les entités impliquées dans la création de valeur.

Au 19e siècle, l’union européenne et les États-Unis connaissent de grandes transformations économiques et sociales. Stimulés par les améliorations techniques, ils s’industrialisent. C’est à cette ère que les chemins de fer ( et les premières locomotives fumantes ) apparaissent, au même titre que voit le jour le télégraphe, le appel téléphonique, et les journaux bon marché qui composent circuler plus vite les idées et les nouvelles. La croissance extraordinaire des villes fait de cet âge industriel une époque . La première révolution industrielle est généralement présentée comme le fruit technique accompli à la fin du 18e siècle et au début du 19e s.. Ainsi l’apparition et l’amélioration de l’outil à vapeur pro en 1769, inventée par la langue anglaise James Watt permet d’actionner d’autres machines et change inévitablement les solutions de génération. Cette période marque manifestation de la mécanisation qui érigera la fabrication industirelle en fondements de la structure économique de l’entreprise, se substituant ainsi à l’agriculture. L’extraction massive du charbon couplée à cette nouvelle machine à vapeur permet d’ajouter à disposition une énergie nouvelle pour donner une impulsion aux réseaux ferroviaires et aux négoces économiques.

Au XIXe s., les industries textiles, les mines de fer et de charbon, la construction des chemins de fer, connaissent en France un développement considérable. En même temps, la l’abaissement du nombre des naissances au sein de la population française et le faible exode rural rendent nécessaire l’emploi d’une main-d’œuvre étrangère, souvent frontalière. Belges, surtout dans le Nord, puis Italiens, notamment dans le Sud-Est et en Lorraine, s’avère être les deux majeures paramètres de cette main d’œuvre.

Cette descente aux enfers va prendre fin début 1994. En moins d’une année, la moitié du chemin perdu est reprise, et à la période estivale 95, le degré de la constitution n’est plus qu’à 6% seulement de son dernier pic. Mais l’élan va vite être brisé après les dévaluations en série du Royaume-Uni, de l’Italie, de l’Espagne qui vont occasionner une perte de compétitivité brutale et laminer des pans entiers de la fabrication industirelle française, notamment dans les biens de consommation : le textile-habillement, le cuir, la chaussure, l’électroménager. de plus, le tour de vis budgétaire du gouvernement Juppé, avec notamment la majoration de 2 points de la tva, va casser la consommation des foyers. Une politique de détermination qui s’inscrit dans la perspective de la mise en place de l’euro.

Car de manière à comprendre le désastre industriel français, il est conseillé de revenir sur les erreurs stratégiques des pouvoirs publics français et de nos grands patrons, eux-mêmes issus du moule techno-politique via les grands corps. Nous devons à Serge Tchuruk dans les années 90, le patron de ce qui était alors Alcatel ( depuis démantelé en de multiples entités ), d’avoir théorisé chez nous le concept d’industrie sans usines, sans présents, «asset-light» : une hérésie stratégique vite abandonnée par les Américains mais qui a perduré en France jusque dans les années 2000. Or notre monde économe moderne, loin d’avoir vu la disparition de la vieille industrie en remplacement d’une économie purement tertiaire et de prestation, est beaucoup plus complexe. En réalité nos économies sont devenues giga industrielles, avec le tool ou les services à valeur ajoutée qui sont venus transformer l’usine d’antan. Les smart factories embarquent des compétences en info, robotique et automatisation en brouillant la frontière avec l’univers de la technologie et des GAFA. Ainsi, d’une certaine façon, la fabrication industirelle n’existe sans doute plus comme quartier autonome mais paradoxalement elle est omniprésente : même les collaborateurs des nouvelles nouveautés doivent déployer des plateformes industrielles et logistiques colossales, que ce soit Amazon ou Google avec ses data centers.

Technologies web et mobile : depuis les années 2000, les applications web n’arrêtent pas de se diffuser et de se démultiplier. Plus récemment, ce sont les applications mobiles ( téléphones portables et tablettes tactiles ) qui montent en puissance. Ces technologies sont de véritables outils de la gestion des compétences. Elles assouplissent les négoces entre les collaborateurs internes et extérieurs et allègent ces derniers des tâches lourdes et à faible valeur ajoutée, notamment dans le territoire tertiaire. Les dernières tendances sont à l’interconnexion des systèmes, jusqu’ici trop cloisonnés. Les technologies web et mobiles facilitent le diffusion de données et dévoilent des soins plus élevées, agiles et intelligents. C’est sure sans compter les progressions en User Experience et User Interface qui facilitent l’utilisation de ces applications.


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